Téléphone en main, la femme du président d’Interpol montre un message qu’elle présente comme étant le dernier reçu de la part de son mari. Il s’agit d’un emoji représentant un couteau, envoyé le 25 septembre 2018. “Bien que je ne puisse pas voir mon mari, nos cœurs sont toujours liés. C’est grâce à cela qu’il tiendra le coup”, affirme la femme du numéro un de l’organisation internationale de police criminelle. Grace Meng témoigne avec le visage caché, car elle reçoit des menaces depuis plusieurs jours. “Tant que je ne vois pas mon mari en face de moi en train de me parler, je ne peux pas avoir confiance”, confie-t-elle.Meng Hongwei visé par une enquête en ChinePeu après cette déclaration, la commission centrale d’inspection disciplinaire du Parti communiste chinois, a indiqué que Meng Hongwei est actuellement visé par une enquête, car il est soupçonné d’avoir violé la loi. Selon la Chine, il aurait accepté des pots-de-vin. De son côté, Interpol a affirmé avoir reçu la démission de son président avec effet immédiat, dans la soirée du dimanche 7 octobre.Le JT
-
JT de 8h du lundi 8 octobre 2018 L’intégrale
Les autres sujets du JT
- 1
Climat : les experts tirent la sonnette d’alarme
- 2
Politique : remaniement imminent au gouvernement
- 3
Élection présidentielle au Brésil : le candidat de l’extrême droite Jair Bolsonaro en position de force après le premier tour
- 4
Violences faites aux femmes : une tribune signée par des personnalités appelle à une manifestation
- 5
Santé : la “love baguette” pour lutter contre le sida
Click Here: New Zealand rugby store